Sangles fines appareil photo- femme
Sangle pour Fuji, leica, Sony, Canon
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Un artisan qui connait les photographes et adapte ses créations à leur usage. Anne-Cécile a conçu plusieurs prototypes pour trouver les modèles qui correspondent le mieux à la façon de porter son appareil. Une sangle, c'est le prolongement du geste, voire le l'oeil. Elle doit à la fois rendre le photographe libre de ses mouvements et à la fois le sécuriser pour lui garantir que son Leica ne tombera pas.
Sangle appareil photo en cuir personnalisée Modèle "Plettenberg"
Leica sangle en cuir | 79€ à 89€
Une sangle customisée
Choisissez la couleur, la longueur, la largeur. Optez pour un cuir tanné ou osez le cuir coloré. 120cm au moins pour porter l'appareil sous l'épaule, moins de 100cms autour du cou. Anne-Cécile connait bien ses sangles. Elle les réalise avec et pour des photographes professionnels exigeants.
Le cuir patiné, cousu main
Chaque appareil a son histoire. Il a voyagé avec vous. Il partage vos souvenirs en quelque sorte. C'est un objet un peu particulier qui porte les marques du temps. On s'y attache, au sens propre et figuré.
Sa sangle, c'est son cordon, son compagnon inséparable. On n'en change pas tous les ans, et il est important de la choisir avec soin. Ni trop longue, ni trop courte, elle doit être adaptée à votre usage. Fine et discrête, elle ne vous alourdit pas.
Autour du cou ou sous le bras, à vous de choisir la bonne longueur. 2 pièces de cuir sont cousues sur toute la longueur pour l'aspect et la solidité. Pour le confort, un morceau de daim vient tripler l'épaisseur au niveau de l'épaule. Appréciez la minutie de chaque découpe, chaque petite pièce jusqu'à la glissière de 3 millimètre de large, faite à la main aussi. Pour les sangles plus larges, un modèle spécifique a étré conçu.
Sa sangle, c'est son cordon, son compagnon inséparable. On n'en change pas tous les ans, et il est important de la choisir avec soin. Ni trop longue, ni trop courte, elle doit être adaptée à votre usage. Fine et discrête, elle ne vous alourdit pas.
Autour du cou ou sous le bras, à vous de choisir la bonne longueur. 2 pièces de cuir sont cousues sur toute la longueur pour l'aspect et la solidité. Pour le confort, un morceau de daim vient tripler l'épaisseur au niveau de l'épaule. Appréciez la minutie de chaque découpe, chaque petite pièce jusqu'à la glissière de 3 millimètre de large, faite à la main aussi. Pour les sangles plus larges, un modèle spécifique a étré conçu.
Le Leica, un appareil d'exception
Le premier appareil de photoreportage de l'histoire était un Leica. En 1914, l'objet de moins de 500g permettait au photographe de voyager léger pour saisir l'instant au 24X36. L'histoire continue aujourd'hui. La légende perdure avec les collectionneurs et les derniers Leica numériques, objets d'exception et look inimitable.
L'objectif d'excellence Summicron est aussi né d'une recherche des meilleurs verres. Le Summmilux dans les années 50 était un verre révolutionnaire au début des années 50. Dans la même décennie, la série M avec son fameux télémétrique était inventé. La lettre M honore toujours les derniers modèles high tech. La lettre M était en fait la première du nom allemand pour "Rangefinder".
Le photographe en action
Un photographe et son appareil. Un 2 en 1 indissociable. On voit toujours Raymond Depardon avec son leica, même si c'est lui, au milieu de son exposition pour célébrer ses clichers.
On ne décide pas des instants magiques. Il faut être prêt à dégainer. "Le ballet de la vie est imprévisible" comme dirait Saul Leiter, l'artiste New Yorkais mort à presque 90 ans en 2013. Que font-ils ? Que cherchent-ils ? Ils cherchent ce que les autres ne voient pas. Ils cherchent, c'est aussi l'essence de l'artiste. Faut-il classer les photographes de guerre parmi les artistes ? Si on parle de James Nachtwey, certainement. Mais alors, quelle différence ? Quel point commun entre un Helmut Newton, photographe de mode, et un James Nachtwey ? Peut-être la quête, la quête du sens, l'illusion de pouvoir lire entre les lignes, entre les ombres, entre les regards, entre les fusils grâce à la photo. Qui sont les hommes ? Au final, qui sont-ils eux-mêmes ?
Saul Leiter
On ne décide pas des instants magiques. Il faut être prêt à dégainer. "Le ballet de la vie est imprévisible" comme dirait Saul Leiter, l'artiste New Yorkais mort à presque 90 ans en 2013. Que font-ils ? Que cherchent-ils ? Ils cherchent ce que les autres ne voient pas. Ils cherchent, c'est aussi l'essence de l'artiste. Faut-il classer les photographes de guerre parmi les artistes ? Si on parle de James Nachtwey, certainement. Mais alors, quelle différence ? Quel point commun entre un Helmut Newton, photographe de mode, et un James Nachtwey ? Peut-être la quête, la quête du sens, l'illusion de pouvoir lire entre les lignes, entre les ombres, entre les regards, entre les fusils grâce à la photo. Qui sont les hommes ? Au final, qui sont-ils eux-mêmes ?
"Le ballet de la vie est imprévisible"
Saul Leiter
Comment porter son boitier ?
- A l'épaule
- Autour du cou
- En bandoulière
En voyage, à la campagne, à la ville, aujourd'hui et hier
Vous êtes prêt à partir sur les routes de France pour photographier le plus beau pays du monde. Ce n'est pas moi qui le dis.
Avec un 28mm pour le paysage, voire le reportage, trouvez la bonne distance.
«"La bonne distance fait le bon photographe"»
Saul Leiter.