Mon atelier de maroquinerie, esprit vintage
Mon atelier sent le cuir. Il est organisé en postes : couture, découpe, assemblage, gravure et un espace bureautique. Ce nouvel espace lumineux de 20 m² est traversé par la lumière de la grande verrière. Je vous propose une visite, entre bibelots, sacs à main et machines.
Espace de travail
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Sommaire 1. Une table pour chaque geste 2. Une table pour repasser le cuir 3. Une table pour couper le cuir 4. Les bibelots |
Une table pour chaque geste
Pour bien travailler, il est important d’être à l’aise. Je travaille principalement debout, à bonne hauteur pour couper le cuir. J’ai chiné une table d’atelier très stable, avec un grand plateau en bois. Les dimensions généreuses me laissent assez de place pour couper le cuir sur plus d’un mètre de longueur. Une structure très solide et des pieds en acier assurent la stabilité. C’est mon poste de travail principal.
Ma chaise d’atelier
Sur ma table, on trouve des roulettes cutter, de grands ciseaux pour le tissu, des ciseaux pour le fil, des matrices, des marteaux, des pointes, une pince à rivets, du papier à coller. Ma machine à coudre Bernina surveille tout ce travail manuel du bout de la table.
La table à découper, coudre et ajuster
La table de travail et la machine à coudre Bernina
Mon stock de portefeuilles
Une table pour repasser le cuir
Le cuir se repasse pour coller deux pièces au thermo-collant avant couture, afin d’éviter qu’elles ne bougent.
Une petite table à repasser
Un panier au pied de la “table à coller”.
Une table pour couper le cuir
J’utilise une machine fabriquée par mon père pour découper au millimètre grâce à des matrices.
La machine à découper le cuir
Les bibelots
J’aime décorer avec des objets chinés, d’époque, et quelques cadeaux d’artisans.
Des objets insolites
La vente à l’atelier
Je reçois sur rendez-vous, on choisit le cuir ensemble, je peux graver ou ajouter un bouton pression sur place.
L’atelier vu du jardin
L’atelier boutique
Stock de cuirs
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